VERNET Horace

  • P. 957, fin 1ère colonne et début de 2: Remplacer : « Il effectue aussi un long séjour en Terre sainte qui n'a que peu de conséquences sur sa peinture : il trouve la confirmation d'une thèse, par ailleurs assez commune à cette époque, sinon chez quelques académiques forcenés de "certains rapports qui existent entre le costume des anciens Hébreux et celui des Arabes modernes ». Par : « En 1839-40 il effectue un long voyage au Moyen-Orient, avec son neveu Goupil-Fesquet*, qui ne sera pas seulement le mémorialiste de ce périple (Voyage d'Horace Vernet en Orient, 1843), mais lancera avec son daguerréotype une expérience pionnière en matière d'expédition photographique dans la région. Hors des évocations de scènes bibliques, souvent assez ridicules du point de vue « ethnographique » (Juda et Thamar, 1840), ce séjour n'aura que peu de conséquence sur sa peinture. Il n'en rapporte que la confirmation d'une thèse, par ailleurs assez commune à cette époque, de « certains rapports qui existent entre le costume des anciens Hébreux et celui des Arabes modernes » (communication à l'Académie des Beaux-Arts, 29 janvier 1848) ».

  • Rajouter la bibliographie suivante : BLANC Charles, Une famille d'artistes, les trois Vernet : Joseph, Carle et Horace, Henri Laurens, 1898. CARTOUX Annie, « Horace Vernet, peintre de tableaux bibliques », Labyrinthe, 1, 1998. RENAUDEAU Claudine, Horace Vernet (1789-1863), Catalogue raisonné de l’œuvre peint, thèse, Université Paris IV.



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